Viol au dessus d’un lit……

Un prêtre jugé pour le viol d’une paroissienne dans le Jura, enfin, c’est l’endroit où cette histoire se passe, effectivement pour le viol, c’est pas là, mais il jura que non.

Tout s’est passé dans une aire pour le presse bite, au numéro ter, non, un mystère, dans le presbytère. Le chargé des relations de deus ex machina et de ses fidèles a voulu initier la paroissienne crédule à une vérification des burettes de la sainte communion. Effectivement elles ne sont pas remplies de vin. Oui elle ne l’était pas devine ce qu’on dîne ce soir et après un contrôle de l’éthylomètre clérical, enfin, c’est ce qu’elle a crue ou gobée, plus en aval qu’à mon cul, tu peux toujours parler, le brave homme est passé des techniques manuelles à celles pratiques beaucoup plus favorables aux rapprochements des corps, dis moi ce que j’ai dans la main je t’expliquerais ce que tu avais dans ta sœurette ne vois tu rien venir…. .

Il avait reconnu le viol, puis s’était ensuite rétracté, ce qui constituait un coitus interruptus, mais pour sa défense, il avait cru que sa victime était consentante, mais elle avouait plus tard, qu’elle n’avait rien senti. Lui, jura qu’on ne l’y reprendrait plus !

Conclusion facile. Les voix du seigneur sont impénétrables !