Un coup de téléphone.

Simple comme un coup de téléphone. Enfin, c’est une formule, une sonnerie spéciale retentit sur mon portable, une version du « Je crois en toi mon dieu » revisitée par un groupe autochtone du nord du Mexique, dont les femmes se sont accouplées avec des français de Barcelonnette, vers les années 1860. Un rapide coup d’œil sur l’écran pour vérifier que c’est bien un de mes copains jésuites qui appelle, et j’apprends que je suis attendu au Vatican, lundi matin, une place étant réservée à mon nom, dimanche dans la soirée, sur le vol Nice-Rome en première classe. Je réponds immédiatement que je ne saurais venir sans ma femme, et dans les dix minutes qui suivent tout est rectifié.

Je serai donc absent quelques jours, sans doute, puisque aucune précision ne m’a été donnée sur ce qui m’attendait dans ce minuscule état. Il parait, que la nomination de nouveaux cardinaux est attendue.  Sont pressentis Messi et Maradona et mon conseil est sûrement attendu avec impatience puisque je suis un spécialiste footeux.

Cependant, il se trouve, également, qu’un de mes profs de théologie au séminaire était un certain Adolfo Nicolás…..alors je me perds en conjectures.

Bon, je parle, je parle, mais on verra !

Je vais essayer d’envoyer quelques posts, histoire de ne pas couper le cordon.

A plus !