La dernière pub de fiat !

Il vient juste de remonter à la surface, l’eau était très froide et le voilà en Italie avec une électrique…… il faut passer le temps…….il vient de trouver une borne et il profite tout en faisant le plein de laisser son chien se vider ….j’espère que ce dernier va aller plus vite que la voiture branchée….quoique, s’il n’y a pas de merde aux environs, ça va diminuer sa libido olfactive ….celle du chien….

Je ne suis pas un expert en clébards et je ne connais pas sa marque, celle de la bagnole est Fiat, c’est écrit sur la pub, comme le Port-Salut.

Comme nounou pour son clebs qui n’a pas de bac à sable ou de terrain de fout à proximité pour l’aider à pisser, il lui trouve une grosse branche et la jette dans un champ qui se trouvait là par hasard….. ça va l’aider…le chien…..

Le temps passe, je me demande combien de prises ont été nécessaires….. pour le chien, Leonardo est un pro…… une seule prise a dû suffire…je parle de la pub ….

La voiture est satisfaite, alors Jack, Jack Dawson la débranche, pour mes amis cinéphiles, c’est la version porno symbolique du Tita nique, putain 26 ans après le mec il coulait de suite, enfin, il est toujours pas mal comme dirait ma femme, il ne lui reste plus qu’à rappeler son teckel, j’espère ne pas me tromper de marque…

Il arrive nonchalant…le chien .

Alors là, c’est le moment clef de l’histoire, le chien est con et feignant…..il a son bout de bois dans la gueule et le Bodycaprio lui ouvre la deuxième porte pour le faire entrer, car son morceau de bois est maintenant très long….. alors j’admire le flegme de l’acteur qui fait semblant de ne pas avoir vu que le chien est con….il part avec un gourdin et revient avec une baguette …aurait-il conclu ? Je parle du chien….. Capri…oh….c’est fini…

C’est du travail d’orfèvre, de la maîtrise, un acteur quoi, alors je suis sûr que ce mec lorsqu’il tient Rose dans ses bras sur le pont du bateau, il a même été capable de s’empêcher d’avoir une érection , sinon c’était un remake de la fameuse réplique de Mae West à Cary Grant :

« Là, dans ta poche, c’est ton revolver, ou t’es juste content de me voir. »