Ouf…. ouf…..ouf !

Les portes se sont entrebâillées !

Notre monde va changer, non pas comme celui d’avant, mais un nouveau, fliqué, contrôlé, avec des prescriptions de sécurité qui deviennent des normes de renseignements sur nos habitudes et de nouvelles mesures pour notre façon de vivre, ni meilleures ni pires, l’avenir nous le dira, mais avec une certitude, nous avons perdu plus d’un an en tergiversations et en perte de temps puisque il faut constater aujourd’hui que ceux qui ont lâché la bride sont au même point que ceux qui ont été plus drastiques……bref, nous avons navigué dans le vague, sans jeu de mots, dirigés par des commandants qui n’ont jamais su où se trouvait l’issue de secours possible, mais en nous faisant croire qu’ils géraient la situation.

Cependant, même si la situation a été difficile, euphemisme, il ne faudra pas oublier que l’état a favorisé la montée en puissance des ogres toxiques américains, comme Amazon entre autres, qui ont pu tranquillement augmenter leur commerce sur le dos des entreprises françaises fermées et handicapées.

Ouf……Mais toujours ce couvre feu ridicule décalé à 21 h, donc, si je comprends bien, hier il était très dangereux d’être dehors après 19h, mais aujourd’hui, cocagne, ce putain de virus a accepté une trêve, la même que celle pour les cyclistes qui ne pouvaient pas dépasser le kilomètre fatidique, bon, quand je pense qu’en Espagne les restaurants n’ont jamais fermé, comme en Italie et à Monaco et que les français pouvaient y aller sous les regards inquisiteurs et même totalement abasourdis des propriétaires de restos limitrophes qui bavaient d’incompréhension devant tant de conneries, j’espère que les promesses initiées lorsque la majorité des français sera vaccinée ne vont pas finir comme toutes celles qui devaient être accordées aux soignants, aux profs et à ceux qui avaient acceptés de faire partie des conseils citoyens pour donner un avis tombé dans les oubliettes du laxisme endémique.

On ne peut rien changer, on ne peut rien réécrire, ou bien allons-nous tout recommencer jusqu’à une prochaine catastrophe car je me demande même si on est capable de retenir les leçons du passé !