Philosophie pour les nuls !
Putain, le premier mai est tout juste fini que nous sommes déjà le quatre, non, le cinq, tout augmente, le huit n’est pas loin, alors on imagine bientôt l’ouverture des portes des cages, puis ce sera juin, en espérant que rien ne recommence, mais les jours et ces mois enfuis, ce temps gâché, ces moments radiés de notre vie, ne reviendront jamais, ces instants importants pour les jeunes, comme pour les autres, pour d’autres raisons différentes, seront effacés de notre temps qui continue inexorablement sa course vers un but inconnu !
Philo pour philo, comme disait Victor Hugo : ce n’est pas le temps qui passe c’est nous qui passons à travers.
mais tu as raison, personne ne nous rendra ce qui nous a été volé
Le temps perdu ne se rattrape jamais : une année blanche et donc noire vu ce qu’il s’est passé. Sans compter que l’avenir est toujours aussi incertain et qu’on n’en pas encore fini avec ce fichu virus qui semble avoir pris ses quartiers de manière durable…