Politique frictions !
La cantine est ouverte aux nouveaux bleus !
Des anciens ministres contestés revenus sur la scène, celui de l’éducation nationale et celui de la santé pour aider un nouveau comédien venu du barreau, ou l’inverse, qui va se charger de les guider vers la même maison…..la santé. A notre santé, les frictions sont programmées .
La porte parole du gouvernement s’est retrouvée bête en étant évincée de ses futures déclarations sibyllines et farfelues, mais gageons que la nouvelle de la culture va nous abreuver d’histoires ceintures, ou sans ‘ture’….
Bref c’est un gouvernement de gauche revisité …wharf…… j’ai lu dans un blog que la gauche revenait déguisée en vert….un blog daltonien, sans doute, mais je dirais même déguisée sarkosien.
Il y a eu la blague Royale, comme la pizza, et le début d’une autre, l’ancien premier ministre se casse pour devenir maire du Havre, et le nouveau avec des casseroles sur le dos vient d’être élu maire de Tourcoing, oh putain, ça commence bien.
Et puis il y a tous les nouveaux et le peloton des délégués qui attendent la soupe …populaire, c’est de l’humour ! Un gouvernement casse-tête …..
Et c’est reparti pour un tour….si tout va bien !
Castex est le casseur de l’hôpital public. Il est à l’origine de la « T2A », une réforme de la tarification visant à gérer les hôpitaux comme des entreprises. Après 3 mois pendant lesquels les soignants ont mis leur santé en péril pour nous soigner et nous protéger, cette nomination au poste de premier ministre est un crachat à la figure de celles et ceux que nous applaudissions tous les soirs…
Et que dire d’un individu qui fait toujours l’objet d’une enquête pour viol, nommé ministre de l’intérieur…
Tout va s’arranger avec le ministre de la justice et son opinion sur les femmes !
Pour sauver Darmanin des griffes de la justice on aurait pu trouver mieux que ce provocateur des prétoires qui a défendu toutes les racailles possibles de Cahuzac à Balkany et qui brillamment perdu tous ses procès…
Que veux-tu, pour gouverner, il faut un gouvernement. Certes, il y a dans ce petit nouveau de l’ancien qui ait tache. mais nous demande-t-on notre avis ? On n’a plus qu’à se fermer la gueule : nous n’existons pas. Sauf pour les élections. Et encore… pas vraiment.