Politique malade !

Une élection sans programme ….

Le co vide était préoccupant et régissait notre vie, on ne parlait que de lui, la télé nous présentait chaque jour un nouveau docteur spécialiste S épidémiologie, S’ chercheur en pandémie virale, vide de vie, co vide .

Aujourd’hui, c’est fini…quelques chevaliers d’arrière-garde cherchent encore à glisser un pied et une intervention entre les ministres abonnés aux déclarations masquées et quelques médecins qui cherchent à se recaser, mais des vagues successives l’ont tué.

Les gilets l’on taquiné…. Il a changé de sexe pour nous leurrer, l’Ukraine l’a débordé par les pénuries de toutes sortes et l’élection vient de lui donner le coup de grâce ….

On va presque dire que le virus est là mais qu’on s’en fout, on va devoir faire avec et vivre avec ce co vide de tout.

Mais……infection collatérale ……la politique est malade..

La droite est morte, tous ses preux chevaliers descendants de l’idole de la Gaule de laquelle ils se réclamaient en le criant haut et fort comme pour se justifier de cette lignée glorieuse d’un passé révolu ont quitté le bateau de leur parti qui comme le PSG s’enfonce dans les vagues du barrage dressé, pour s’agglutiner à celui qui fait figure du sauveur de cette menace que de nombreux politiques de tous bords se sont ingéniés à construire comme de vulgaires apprentis sorciers.

La gauche est fragmentée usée par ses lourds éléphants âgés, fragiles, impotents de leur importance oubliée qui se disputent les lambeaux de ce qui fut leur gloire par des guerres intestines qui se veulent rassembler sur les restes de leurs dieux déboulonnés en niant d’avoir aussi participé à la création de ce monstre qui tel Frankenstein a pris le nom de son créateur.

Tous ont joué avec ce feu pour justifier leur importance, mais surtout pour masquer leur manque total de visibilité et c’est comme cela que petit à petit notre politique est devenue aveugle avec la seule ambition de conquérir le pouvoir en oubliant le peuple. Une politique sans ligne directrice, un coup dans le vert, un coup dans l’avenir, un coup dans le passé, un coup européen, un coup américain, un coup teinté de menaces, un autre coup avec des promesses, des coups pour rien… une politique pour noyer l’adversaire, mais jamais pour faire mieux que lui, sûrement parce que personne n’en a les moyens …

Une politique versatile qui nous balade d’espoirs en désillusions sans un programme à la hauteur de nos attentes.

Le vi russe est endormi, peut-être, mais il est exactement comme nous, et c’est un vrai cauchemar !