VIOLENCES  CONJUGALES !

Oui…….Violences de la loi !

Juste un post pour gueuler !

Alors, même la grâce présidentielle c’est du pipeau ? Bon, il ne s’était pas mouillé avec sa grâce partielle….

Alors les violences contre les femmes sont aussi du pipeau !

Alors c’est vrai qu’il y a une journée de la femme par an, le reste de l’année on s’en fout et après on va discuter du droit des femmes…putain, mais de quel droit ?

Nous avons un gros problème avec notre justice, bon, vous allez me dire, un de plus……

Si, j’ai bien compris la décision du tribunal d’application des peines, la meurtrière, puisqu’il faut l’appeler ainsi, pas de présomption d’innocence pour cette pseudo victime des actes de barbarie de son mari, a trop pris une position de victime et ne s’est pas assez interrogée sur sa situation…sans déconner elle aurait dû présenter une dissertation sur les inconvénients d’être le souffre douleur d’un mari violent qui ne lui laissait pas le temps, entre les coups, de s’interroger sur sa situation de femme battue face à la perte de son temps de loisir pour mettre en évidence sa situation de femme fragile face à la bestialité d’un mari sans scrupule et de publier un manifeste en plusieurs exemplaires pour révéler son désaccord .

Putain, on lui refuse dons son statut de victime ! On pense qu’en étant acquittée elle serait trop près des lieux du crime, en vivant chez l’une de ses filles ……. merde on cherche quoi ?

Mais on est où ? C’est la honte. Qui sont ces juges sans humanité, ou bien est-ce une sombre histoire de politique ?

6 réflexions au sujet de « VIOLENCES  CONJUGALES ! »

  1. On connait la qualité toute relative des expertises psychiatriques. Dans un procès, deux, trois experts ont rarement le même avis. D’après ce que j’ai entendu, les prétextes invoqués pour maintenir J. Sauvage relèvent purement et simplement de la psychologie de prisunic. Voilà maintenant la justice low cost qui commence. Comme disait Philipe Meyer, « Nous vivons une époque moderne, le progrès fait rage ».

  2. C’est tout bonnement une décision politique. Pour les magistrats, le president de la république n’avait pas à intervenir. En attendant, cette malheureuse reste en prison. Le parquet doit faire appel de cette décision. Tout espoir n’est pas perdu.

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