Elles sont arrivées !
Demain les bleus baisent ! Ou pas !
Mais qui c’est-y qui va payer ce voyage vers le septième ciel ?
Elles sont arrivées !
Demain les bleus baisent ! Ou pas !
Mais qui c’est-y qui va payer ce voyage vers le septième ciel ?
J’avais entendu dire que les joueurs qui restaient sur le banc sans jouer, étaient des coiffeurs.
Putain, que dire de ceux qui jouent ? Quel cirque ! Quels clowns !
Festival de crânes décorés, de tempes rasées, de bouclettes, de chignons et de figurines géométriques tarabiscotées, de couleurs enlacées, de motifs pompiers.
Étalage de tatouages élaborés, les joueurs se transforment en hommes sandwiches modernes qui redevenus des péripatéticiens archaïques arpentent les terrains en vendant leur corps à des versets bibliques ou à des pubs sataniques que même un caméléon travesti et athée ne saurait reconnaître sa mère mystique dans un tel lupanar graphique où chaque participant est plus zèbre carnavalier que joueur endimanché. Continuer la lecture de MONDE DE LA MODE !
Cymbale et clavecinq, conclave, partouze à deux balles à sein Salvador !
Tout augmente, pour cinq Bâle t’as pas le quart !
Maintenant les français vont fêter la cinq Bâle en jouant !
La profondeur du trou de Bâle a niqué les tireurs suisses !
Leur défense est devenue gruyère, à cause des trous de Bâle !
Les Suisses sont chocolats !
De notre envoyé spécial du bois….de Boulogne, en direct du mondial, non, je déconne, de celui du Verne, pour ceux qui connaissent.
Que vois-je en consultant la presse locale, que tous les footeux ne sont pas descendus du bus ? Il y a encore des grévistes de contrebande dans l’équipe ? On n’a donc pas viré tous les anciens polichinelles ?
Des footeux grévistes, putain, c’est comme des curés adeptes du Kama Sutra…revisité, bien sûr, à la limite, acteurs de théâtre, vu leur entraînement sur les stades, ou pantins comme les guignols qu’ils sont, mais grévistes…. c’était comme les cheminots aujourd’hui, on ne comprenait pas leur mouvement. Continuer la lecture de LE MON DIAL, C’EST A TOUÉ !
Sans parole !