Je vais vous paraître cynique !
Pour le Liban, hier, à l’Olympia visiblement le virus n’était pas là.
Paris n’est pas Marseille et le virus est moins agressif, la salle était pleine, alors que son volume est nettement moins important par exemple que l’aire d’un stade à l’air libre, aucune distanciation, mais sur la scène pas de masque, c’est à croire que les règles des gestes barrières sont également à géométrie variable ou…fantaisiste puisque on continue de confondre l’augmentation des cas positifs avec celle des malades…
Je crois que je suis cynique…..on continue de nous affoler avec des mesures aléatoires prises plus pour mettre en exergue le principe de précaution que celui d’agir d’une manière concertée, avec à l’évidence une façon de pouvoir dire en cas d’amélioration, que c’était grâce à leurs actions…… les élections approchent .
D’un autre côté, je les comprends, car notre société est devenue tellement assistée, inconsciente et procédurière qu’ils doivent également se protéger de tous ces pingouins irresponsables, stupides et dangereux qui sont prêts à toutes les conneries pour se faire remarquer, mais qui en cas de dangers hurlent qu’ils ne savaient pas, comme en ce moment où sur presque toutes les photos prises en front de mer, il y a des comiques qui veulent braver la tempête malgré tous les avertissements ….
Je suis sûr d’être cynique !
Règles de distances respectées, masques pour les spectateurs, je ne vois pas où est le problème. On dirait que le sud-est cherche systématiquement des poux dans la tête aux Parisiens…
Riton :
Alors on dirait que le politiquement correct est aveugle ou ne veut rien voir, caché derrière ses certitudes de la guerre sud-est Paris qui est tout aussi ridicule que cette excuse navrante, surtout pour toi ! Je veux simplement montrer que tous leurs discours ne sont que de la poudre aux yeux jetée sur leur incompétence et leurs décisions à l’emporte-pièce, ou il y a des mesures, les mêmes pour tous, ou on ne dit rien !
Les mesures sont les mêmes pour tous selon la zone d’exposition au virus. Il me semblait que c’était clair.
Riton :
C’est quoi la zone d’exposition au virus ? Une pochette surprise ‘vérandaise’ ?
Un bar à Paris est moins dangereux qu’un restaurant lyonnais ou niçois ….c’est le vague absolu enrobé d’obligations !
Le « politiquement correct » aujourd’hui, c’est cette mauvaise foi franchouillarde qui consiste à remettre en question toutes les décisions du conseil scientifique sous prétexte que ça perturbe les petits égoïsmes des uns ou des autres.
Si on arrive à contenir la pandémie, force est de constater que le taux de connerie est devenu totalement hors de contrôle…
Ps: Paris est en train de rejoindre Lyon, Nice et Bordeaux dans le peloton des zones à éviter…
Riton :
Il est marrant de constater ta manie de qualifier de franchouillard tout ce qui ne te plait pas !
Une épidémie qui confond positifs et malades, une épidémie qui s’attaque aux pauvres et des malades nantis qui s’en sortent presque toujours . Je ne veux pas faire de complotisme mais je tente de réfléchir et s’il n’y avait pas les médias et les beaux parleurs comme par exemple en 69 pour la grippe de Hong-Kong qui avait fait également 1 million de morts, nous n’aurions pas été traumatisés à l’extrême, car il y a toujours eu des pandémies et il y en a toujours …mais moins médiatisées !
Oui, je trouve cet égoïsme franchouillard et mesquin. Tu qualifies la médecine de « poudre aux yeux » et de « vague absolu ». On peut être sceptique sans rejoindre le camp de la mauvaise foi. Mais c’est ton blog et tu veux toujours avoir le dernier mot, alors, je te laisse le dernier mot…
Riton :
Pourquoi, tu ne veux pas aussi avoir raison ?
Le propre d’une discussion c’est d’avancer ses arguments qui ne sont pas ceux de l’autre . Aucun des deux ne détient la vérité …s’il y en a une, et ce n’est absolument pas une question d’avoir le dernier mot !
Je ne qualifie pas la médecine de poudre aux yeux mais certains médecins plus médiatisés et télévisualisés qu’efficaces !
Je ne regarde jamais les émissions de ce type : ça m’agace profondément; en outre, j’ai bien mieux à faire que me vautrer dans un fauteuil et d’être d’une passivité alarmante.