JOUR QUARANTE ET UN BIS ET FLUCTUATION !

Fluctuation en bourse !

Chaque jour nous avons les cours du CAC 40…..

Maintenant tout change …

Nous ne vivons plus qu’en fonction des cours du covid !

C’est la température de noël….en ce moment c’est la barre des 5000 qui va déterminer la sortie du 15 décembre, et c’est le yoyo journalier des cas quotidiens qui conditionne notre liberté, mais tous ces chiffres assénés chaque jour semblent sortir d’une pochette surprise totalement invérifiable.

On nous prend pour des serpillières, j’en ai marre, un jour ce sont les politiques, un autre les spécialistes et les épidémiologistes et quelquefois des docteurs de la télé qui viennent nous donner de nouvelles précisions sur ce qui nous attend. Il va même falloir choisir entre noël et le premier janvier…insupportable.

Nous sommes les jouets d’une appréciation aléatoire de statistiques incontrôlables. On nous présente le droit à notre liberté pour les fêtes de fin d’année comme une carotte, si nous sommes sages et obéissants, on nous accordera peut-être de manger la bûche ensemble…sinon, le bâton nous attend !

C’est intolérable de nous faire naviguer dans l’incertitude totale, ce qui était interdit hier devient permis aujourd’hui, nous sommes baladés de promesses en punitions, on nous isole en nous interdisant tout simplement de vivre .

Mais ce qui m’énerve encore plus c’est le ton de tous ces gens là qui nous parlent comme à des enfants d’une façon condescendante presque comme s’ils nous demandaient de retenir une leçon en nous blâmant et en nous rendant responsable de tout manquement à leurs recommandations qui deviennent des ordres.

Et pendant ce temps, on ne parle plus que de covid et de vaccins, et tous les autres problèmes sanitaires sont priés d’attendre….Le cours des bourses se remplit dangereusement   !

 

Une réflexion au sujet de « JOUR QUARANTE ET UN BIS ET FLUCTUATION ! »

  1. Eh oui, ça discutaille, ça tient le crachoir et ça assomme de concepts inutiles : l’infantilisation est en marche (comme le parti du gouvernement). Doctes conseils, bavardages continus… Nos oreilles n’en peuvent plus de ces susurrements perpétuels… Nul n’est capable démettre autre chose que ce « ça » envahisseur pluri-quotidien. Nos cervelles vont finir par éclater à force d’angoisses instillées savamment. Que l’époque soit instable, on ne peut que l’admettre, mais est-ce une raison qu’il ne soit plus question que de ça ? Il devient de plus en plus difficile d’échapper à cette invasion malsaine qui consiste à nus prévenir que ceci ou que cela…
    Question : sommes-nous vraiment des ânes bâtés qu’il faut mener à la baguette tout en tendant une carotte d’espoir mitigée de répression ?

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