Tout-va-bien à Nantes !
Neuf viols et quatre tentatives, condamné en 2005 à 18 ans de réclusion criminelle et dix ans de suivi sociojudiciaire, il est sorti de prison en 2016. Il récidive en 2020.
Bien, normal, ça fait moins d’un an pour un viol, en raisonnant froidement.
Rien à dire, il a accompli sa peine, et le conseil constitutionnel n’a rien à dire, il doit même jubiler. Souvent on s’occupe plus des agresseurs que des victimes. Pourquoi est-il sorti en 2016 ?
Maintenant le contrevenant risque une peine de réclusion à perpétuité, enfin, on va voir……
Je vais rester sobre malgré cette rage qui monte…..eux ne se gênent pas pour appliquer les ‘multirécidives’ ….et ne veulent pas les doubles peines…..
Violée et assassinée à 15 ans……On va expliquer aux parents les subtilités de la loi !
Pour des crimes aussi ignobles, il devrait y avoir des peines plus lourdes et surtout pas de remise de peine. Il n’y a plus la peine de mort et c’est bien, mais que des individus pareils puissent être dehors après 11 ans, c’est vraiment indécent pour les victimes ! Écœurant même !
Les jurés avaient fait leur travail en le condamnant à 18 ans de réclusion criminelle. C’est le suivi socio-judiciaire qui est à revoir dans cette épouvantable affaire. Il n’aurait jamais dû sortir avant la fin de sa peine.
J’espère qu’il n’échappera pas à la perpétuité…
Riton:
C’est la moindre des choses !
Je me demande parfois , avec un certain malaise , si Badinter a eu raison.Sachant que le suivi socio-judiciaire ( comme dit misterdoma) n’a pas fait son travail , que cet « homme » ne paraît pas récupérable, que faut-il en faire ? Croupir en prison est la seule solution offerte, elle ne me satisfait pas. Cette affaire bouscule mes convictions , ce n’est pas la première fois et hélas pas la dernière.
Riton: Non, nous deviendrions alors comme eux !
C’est insoluble : même les condamnations à perpétuité ne sont pas perpétuelles : il y a toujours un moment où le fauteur de troubles peut quitter la prison. Et donc recommencer…