FOUT !


Fout et règlement de comptes façon De Bello Gallico !

Ça barde sur le tapis vert aux mollards .

C’est la guerre entre Deschamps et Dugarry .

Et je suis cet affrontement avec passion et délectation, normal, tout ce qui touche à la baballe m’excite.

Merde, un roman, une tragédie, dont je vais vous narrer l’histoire, avant qu’un aficionado, ou ventre, en fasse un livre, et que les ricains en fassent un film.

Tout commence en 1998….. au siècle dernier.

Rappelez vous la fête multiraciale et culturelle, ces français qui descendaient les Champs Élysées en chantant…… ailleurs, en France, on s’en foutait complètement, car lorsqu’ On gagne, et lorsqu’ On est champion, c’est toujours à Paris que cela se passe…merde, l’arc illuminé et la tour qui clignotait, et cette ferveur populaire, la France qui retrouvait sa grandeur mondiale, bref les copains d’abord …fluctuat nec mergitur c’était pas de la littérature, putain, encore du parisianisme, mes amis de la culture comprendront…..

Les français étaient les dieux du fout ! Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Black, blanc beurre ! Putain, c’était beau et Macron avait 21 ans, c’est tata Brigitte qui lui avait tout raconté ……

Mais en surface seulement ! Car…….Tatatan .

Des rivalités existaient pourtant entre ces potes idoles, et le temps allait les exacerber ..tatatan !

Il y avait dieu et ses apôtres ……Zizou le grand, trônait sur ce panthéon médiatique dont les autres tentaient de se partager la célébrité.

J’abrège pour ne pas vous lasser …

En 2006 l’attente du peuple français fut déçue parce que le dieu vivant décida sur un coup de tête colérique de couper les jambes de ses partenaires de jeu et de les suicider en supprimant les futurs défilés champs élyséens qui s’annonçaient pour une nouvelle victoire mondiale…..

Le temps passa et Deschamps le capitaine d’avant devint le sélectionneur d’aujourd’hui, Yazid continua d’engranger les pépettes madrilènes et certains autres vendirent leurs charmes à des télés pour devenir consultants.

Une petite parenthèse : qu’est-ce qu’un consultant ?

C’est un mec qui n’a fait que pousser la baballe, plus ou moins bien, presque un flemmard, qui a amassé beaucoup d’euros, et qui profite maintenant d’un copinage pour continuer d’exister et venir glander en se faisant payer et en racontant des conneries insipides à la télé ! Remarquez, il y en a beaucoup…et pas qu’en fout !

Voilà, le décor est planté…..place à la tragédie, amis de la culture je vous salue encore, ce post est presque pour vous, je vous signale, avec malice, que ce mot vient du grec τραγῳδία, dont la traduction est ‘chant de bouc’, poème chanté qui accompagnait le sacrifice des boucs, un moment de relâchement…..désolé pour les autres….

J’adore écrire ce genre de post, ça me délace, une sorte de récréation, et puis au moins je ne parle pas de religion…quoique…..enfin, je me fais plaisir, et c’est le principal, même si je sais qu’il ne ne va pas y avoir beaucoup de commentaires, mais je préfère, de loin, avoir un blog qui est lu, plutôt, ou rintintin, que d’avoir beaucoup de commentaires insipides qui me soûlent.

Putain, je m’égare……

La France vient de gagner sa deuxième coupe du monde, nous sommes de nouveau les plus forts…On est les champions ..on est les champions…..nous sommes en 2018 !

Deschamps est le général victorieux, l’impérator, auréolé de ses deux titres et a donc éloigné un prétendant à sa couronne, le dictateur zizou l’ibérique et sa troupe servile dont un de ses amis, le fidèle pantin fayot de Burdigala, le munifice ‘le du gars qui rit’ aussi grincheux que mauvais joueur, mais qui se croit sorti de la cuisse de Jupiter.

Alors, n’y tenant plus pour se faire mousser et redonner quelques éclats à sa renommée inexistante, profitant de son nouveau rôle de barde assermentée dans une bande de guignols sévissant sur une radio périphérique, notre brave gari se mit à déblatérer sur son ancien consul en espérant faire le lit de son fidèle ami demandeur d’emploi qui avait renoncé à sa tenue madrilène en attendant un nouveau boulot de recruteur, et de retrouver par là même un rôle de légat flagorneur.

Une tempête dans un verre d’eau ! Le minus qui s’attaque à un monument. La nouvelle guerre des gaules, enfin c’est quéquette contre phallus ….

Et à coup de communiqués débiles, celui qui n’était qu’un troufion, voulant égaler son ancienne idole, commença à se gonfler de renommées stériles, de prétendues qualités dont il était fort dépourvu, ne se rendant point compte d’être devenu aussi couillon que la grenouille de la fable qui voulait se comparer au bœuf dont elle ne valait pas la bouse.

Je suis désolé d’avoir emmerdé ceux qui n’aiment pas le fout, mais c’est une histoire qui arrive dans tous les domaines, il y a toujours les petits valets qui se prennent pour des seigneurs et les serviteurs sont souvent plus snobs que les maîtres !

Cependant dans chaque groupe, un chef est nécessaire, mais à l’inverse de la politique, le meneur ne se nomme pas lui même, il est toujours choisi par ses équipiers…

La tragédie est démontrée, c’est le chant du bouc dans toute sa splendeur, non, je n’ai pas dit que Duga qui rit creva !

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