JOUR TRENTE-DEUX !

INQUIÉTUDE !

Insupportable et dramatique !

Les jours se suivent et chacun d’eux est plus pénible que celui de la vieille qui était déjà exécrable, ‘annus horribilis’, en latin dans le texte, amis de la culture bonjour, cela vous rappelle sans doute la fameuse réplique d’Élisabeth II en 1992, une référence curieuse pour une reine, anglaise de surcroît, mais il ne faut pas oublier que le latin et le français étaient les deux langues parlées à la cour d’Angleterre vers le dixième siècle, il en reste bien sur les deux devises anglaises  ‘Dieu est mon droit’ et ‘Honni soit qui mal y pense’, pour les fouteux qui me lisent, ce n’est pas ‘aux niçois’, comme on pourrait l’entendre, avec les oreilles, enfin, dès qu’ils enlèvent leur casque, ceci pour faire un rapprochement avec anus, avec un seul ‘n’, qui rend la réplique royale encore plus savoureuse puisque vous le savez, le fameux hymne anglais, ‘god save the king, ou queen’ est calqué, enfin totalement pompé, un véritable plagiat, sans les droit d’auteur, insupportable, sur un chant composé par Lully en 1886, ‘Grand Dieu sauve le roi’ pour favoriser la guérison de la fistule anale du grand Louis XIV et surtout pour que dieu, putain, il est à toutes les sauces, donne les meilleures chances de réussite à l’opération tentée par le barbier royal Charles-François Félix, comme quoi, le cul mène à tout, mais là n’est pas le sujet, c’était juste une parenthèse pour mes vieux amis qui me suivent depuis de longues années, car oui, c’est vrai, les jours sont tellement vides et tristes et obsédants, un jour sans toi, les matins indolents, les soirs de pluie, le confinement et le vent, je sais que c’est fini, momentanément peut-être, je sais mais je t’en prie, écoute-moi quand même, écoute-moi car je t’aime….. depuis qu’on s’est quittés, je suis seul décontenancé, je suis seul, la nuit vient, et je me souviens de ces années d’amour, et ton corps blond de soleil et de sable, et de chantilly nappé, et de cette malaga qui coulait sur ta peau sucrée……..merci à N. Ferrer de m’avoir aidé pour ce texte grandiose, une réminiscence de mes années de jeunesse, mais je n’avais pas d’autres mots pour laisser éclater en musique ce que je ressens au fond de mon subconscient et qui m’envahit chaque jour de midi à minuit, car maintenant en plus des jours du confinement qui défilent, d’autres encore plus terribles et dramatiques et insupportables martèlent mon esprit dès que je ferme les yeux et, comme un leitmotiv viennent détruire cette patience qui me caractérise ……

PUTAIN IL N’Y A PLUS DE BANANE  !

PS. Écoutez quand même ce titre, un vrai bijou, pour ceux qui se rappellent qu’on pouvait parler à une fille, ou à un garçon, et oser une approche ‘normale’, valable des deux côtés, sans risquer l’agression sexuelle, en dansant ce qu’on appelait un slow ……putain, il était bon quant il ne faisait pas le cornichon……Regrets éternels !

4 réflexions au sujet de « JOUR TRENTE-DEUX ! »

  1. Mon tempérament casanier me fait supporter relativement bien le confinement. Certes, je me pose des questions qui restent sans réponse, mais que diable, nous sommes vivants et bien vivants. Et tant pis pour ces jours coincés entre quatre murs : l’avenir, c’est toujours demain.

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