PUB ‘SELOGER’ !

Série des pubs qui m’éclatent !

Elle est en bonne place : ‘seloger‘ .

Vous ne les regarderez plus de la même façon…..

Une tranche de vie ….

Nous sommes à la campagne, il fait très beau. Un hommes sort de la maison tenant dans ses mains un plat visiblement très chaud, dont il a l’air satisfait, pour le partager avec ses amis attablés.

Personne ne bouge, tous sont très occupés avec leur portable. C’est la nouvelle société que tu leur files un plat chiadé ou de la merde, c’est pareil, le portable est le plus important, aucun savoir vivre, personne ne daigne même lever les yeux sur la réalité, ils sont rivés sur leur putain d’écran, une blondasse le partage avec son voisin, et tous les autres convives sont dans leur monde virtuel, celui de l’égoïsme. Même les enfants qui s’amusent autour ont l’air de les emmerder.

Alors l’hôte, agacé ou amnésique pose ses bras autour de ce plat qui sortait du four en oubliant de se brûler….. c’est vraiment de la téléréalité……

Par contre, je ne comprends absolument pas la finalité de cette scénette, ce sont tous des glandeurs qui doivent squatter chez ce mec qui ne craint pas les brûlures, d’ailleurs ils se foutent totalement du plat concocté par leur hôte, mais au lieu de suivre l’idée directrice de la recherche d’un appartement comme le suggère la pub, je me focalise plutôt sur cette nouvelle façon de se comporter en société, une société qui se dissout dans l’égoïsme ambiant des jeunes générations qui refusent le dialogue et la vie en commun pour un repli sur soi et une communication fermée avec des intervenants dont ils ignorent la vrai identité en ne voyant que ce que on veut bien leur montrer !

 

2 réflexions au sujet de « PUB ‘SELOGER’ ! »

  1. Les beautés d’une société qui vit dans un monde virtuel . Finalement, je suis contente de ne plus avoir l’âge d’appartenir à cette génération. J’ai mes amis d’enfance, ils sont un des socles de ma vie. C’était chouette d’être enfant dans les années 50. Pas de tablette, pas de portable mais on inventait des jeux, on se faisait des amis, on se flanquait des raclées et on est toujours amis des décennies plus tard.

  2. Ah, il y a beaucoup à dire et sur la pub qui envahit tous les foyers par écrans interposés, sur le vide dans lequel les porteurs de bigo s’installent jusque dans les moments de partage. Accros qu’ils sont aux textos et autres travers que ce téléphone portatif a engendrés sans qu’on en ait conscience… Comme si c’était primordial, vital… Comme relations, il y a mieux.

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