JOUR TRENTE-NEUF !

ET APRES ?

L’après confinement !

Que de discutions, que d’avis, que d’hypothèses sur des faits dont on ignore tout !

Ils se posent aujourd’hui beaucoup plus de questions qu’ils s’en étaient posé avant.

Comme ils étaient déjà dans le vague avant, comment peut-on penser qu’ils ne vont pas encore se tromper.

C’est le jeu des questions sans réponses…et si , mais si, et comment, parce que, surtout pas……chacun y va de ses explications nébuleuses…chacun nous donne son explication et ses solutions, en se gardant bien sûr une porte de sortie…au cas où….

Je peux donc tranquillement vous soumettre ma solution.

Dès le premier jour, nous sommes contaminés, car en nous, mélangé à la vie, coulent dans notre sang toutes les menaces qui annoncent déjà notre mort, suite inéluctable de ce premier jour où déjà nous avions crié, ce que certains avaient pris pour de la joie alors que ce n’était que la découverte de l’angoisse de la situation : une naissance qui préfigurait une mort prochaine.

Nous sommes déjà tous inégaux devant la suite qui arrive, mais nous n’avons aucun assurance. Nous sommes donc ….contaminés à subir.

Ou nous refusons la vie, ou nous acceptons la suite avec toutes les éventualités possibles.

Le premier cas peut être facilement résolu, quant au second …c’est le notre, avec ce que cela implique.

C’est à dire que nous ne sommes pas maître de notre destin puisque nous ne savons rien de ce qui nous attend et que toutes les supputations ne sont que du domaine de l’imprévisible !

Il ne reste plus que le fameux ‘Wait and see’ dont la traduction française est sans doute :     Après, on verra ! 

6 réflexions au sujet de « JOUR TRENTE-NEUF ! »

    1. Beaucoup de nageurs en eaux troubles surtout ! A l’instar d’un ancien 1er ministre reparti danser la valse dans son pays, mais qui revient par une porte dérobée, donner des conseils a la France pour l’après confinement… et sans doute proposer ses services… On croit rêver !!!

  1. Après moi le déluge ? Peut-être ! Ou jamais. Le destin ? Qu’est-ce ? Une heure encore avant sa mort, il était vivant disait La Palisse.
    Dès que l’on met le nez au dehors du ventre maternel, on est condamné à disparaître un jour ou l’autre. S’il est une certitude, c’est bien celle-là : nous sommes « finis » à un moment ou un autre. La compagne la plus fidèle, c’est bien la mort programmée. A quoi bon rêver, ou établir des plans sur la comète ? Le plus simple est de prendre chaque jour ce qui est donné.

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