RAISON !

Raison, déraison !

Non, je ne traite pas d’intolérance ceux qui ne sont pas de mon avis. Argument facile. Raisonnement pratique.

Je ne suis pas sûr d’avoir raison, mais je cherche un débat pour apporter d’autres ouvertures. Ce qui me gonfle, ce sont ceux qui démolissent sans construire, qui se contentent de pirouettes stériles en étant systématiquement contre tout et surtout sans argumenter.

Je respecte ceux qui ont un avis différent du mien, mais qui apportent des explications pour défendre le leur.

La discussion n’est pas un combat de deux personnes, c’est un choc d’idées. On doit pouvoir débattre sans uniquement insulter l’autre en tant qu’être humain mais apporter des idées pour tenter de le convaincre. Mais c’est également facile de faire semblant de ne pas comprendre et d’annoncer que l’autre veut avoir raison à tout prix en ne faisant que provoquer sans fondement.

On peut croire en ce qu’on veut, sans toute fois forcer les autres à le faire, sinon cela devient alors justement de l’intolérance.

Ceux qui ne croient pas ne veulent pas être considérés comme des ‘mécréants’ indignes comme justement le font les religions du livre, avec un sens péjoratif.

Toutes les religions veulent convertir les autres sans demander leur avis.

Toute l’histoire nous montre et nous prouve que les guerres et les conflits proviennent de ceux qui veulent imposer leurs idées et leur religion par la force !

Lorsque la religion devient celle de l’état  il n’y a plus d’alternative, heureusement que ce n’est pas le cas chez nous, mais il faut surveiller les nostalgiques de ces temps où la religion prenait le pas sur la loi.

Par exemple, on  peut être contre l’avortement par principe religieux, c’est alors une affaire personnelle, qui reste du domaine privé, mais  d’autres exemples nous montrent que ceux qui sont contre vont jusqu’à tuer ceux qui le pratiquent. De quel côté est l’intolérance ?

Je signale que ceux qui manifestent sont justement contre la liberté de choix !

Il ne faut pas renverser les rôles. Rappelez-vous, dans un passé pas si lointain , comment ont été traité ceux qui militaient pour la pilule, contre l’avortement ou contre toute avancée scientifique qui bouleversait les dogmes établis, la religion alors toute puissante, les condamnant à mort. Mais ces pratiques barbares peuvent resurgir !

Enfin, il est stupide de dire qu’on ne prend pas parti, qu’on se voile la face comme disent les footeux.  Ça commence toujours comme ça, comme lorsque une grande partie des gens laisse faire parce que cela ne les concerne pas.

La politique de l’autruche a toujours mené les civilisations à leur perte !

 

15 réflexions au sujet de « RAISON ! »

  1. Une page de publicité comme ils disent dans le poste…

    « Sa thèse, l’auteur la pose vite, un peu trop vite peut-être. « Il faut une rare dose de mauvaise foi, de parti pris ou d’ignorance, pour nier que la religion constitue un problème pour l’humanité », affirme d’emblée le philosophe Yvon Quiniou. Cette phrase introductive lève un suspense qui n’a pas eu le temps de s’installer, au risque de rebuter les moins convaincus. Mais elle donne aussi le ton d’une critique qui se veut donc au vitriol.

    De ce point de vue, l’ouvrage ne déçoit pas. Il démonte point par point l’imposture dont les trois monothéismes font le lit, via les mouvements antiavortement, le péché de chair, le refus du divorce, la minoration des femmes ou la condamnation de l’homosexualité… « Ma critique n’a rien d’anachronique et d’inutile », croit d’ailleurs devoir préciser l’auteur, qui pointe « un retour du religieux en Occident sous une forme directement politique ».

    Et de rappeler le rapprochement officiel opéré par Nicolas Sarkozy avec l’Eglise catholique : « Un homme politique à la tête d’une République se permettait de tendre la main aux Eglises, de leur donner une légitimité officielle et de leur demander de coopérer à recréer le lien social que sa politique néolibérale ne cessait de détruire ! »

    Méthodique, sa démonstration prend appui sur de grands noms de la philosophie. A commencer par Spinoza qui développa un humanisme pratique confiant dans les capacités de l’homme. Avec lui émerge l’idée d’un individu en mesure de se sauver tout seul, sans l’aide d’une transcendance extérieure. Les apports de Hume et de Kant sont aussi évoqués, mais il faut attendre Feuerbach et Marx, voire Freud, pour sortir de ce face-à -face abstrait : « Un monde postreligieux est donc pensable dès lors que l’on pense qu’un monde sans aliénation est lui-même historiquement possible. »

    Si l’auteur assume son parti pris jusqu’au bout, on pourra toutefois lui reprocher une approche un peu trop systématique. Quelques nuances n’auraient pas gâché le plaisir. »

    Critique de la religion. Une imposture morale, intellectuelle et politique, d’Yvon Quiniou, éd. La Ville brûle, 256 p., 15 €.

    (article paru dans Marianne du 21 novembre)

  2. Riton, mon bon…
    Pour en revenir aux bouffeurs de cul-raie…
    Je connais même des anti, anti, anti, religion qui fêtent Noël en famille avec crèche et arbre de Noël…
    L’humain est plein de contradictions !

  3. Exemples types de trolls….intégrés !
    Une réponse nullissime façon je m’en tape je n’y comprends rien et je noie le poisson de mon je-m’en-foutisme dans un vase de sable mouvant, comme tous ces pseudos stars de la télé, qui, pour masquer leur inculture, balancent des vannes qui n’ont rien à voir avec le sujet, et une autre qui me recopie un texte façon, c’est écrit-j’ai raison, et t’as tort.
    Je ne cherche pas à savoir ce qui est écrit dans les livres, je suis capable de les lire, mais je voudrais savoir ce que tout un chacun peut en penser pour éclairer la lanterne de ma bêtise ou de mon incertitude, quand aux conneries, je suis assez grand pour me les servir moi-même !

    1. Comme je suis d’accord avec ton écrit, mon intention était juste une façon de soutenir, en partie, la justesse de ton propos. Mais manifestement, ton égo se révèle tellement surdimensionné qu’une fois ton jugement posé sur quelqu’un (moi en l’occurrence), tu es incapable de discernement. Tu sais tout sur tout apparemment…
      Dieu n’existe pas ? Mais si, il s’appelle Riton.
      Amen.

  4. Mon ego est sûrement en rapport avec ton incapacité à te faire comprendre !
    Oui dieu existe, mais tu peux m’appeler Henri !
    Alors, mon fils, je n’ai aucun jugement posé sur ta personne.
    Vous êtes tous mes enfants et je vous aime tous.
    N’en fais pas un problème de jugement, mais je lis ce que je vois ! Désolé.
    Mais si tu dis « la justesse de mon propos » nous sommes donc d’accord!
    Tu vois que je suis capable de discernement!
    Allez, un chocolat et joyeux noël !

    1. Notre Henri dieu qui es à Cannes,
      que ton nom soit sanctifié,
      que ton règne vienne,
      que ta volonté soit faite sur la terre ou ailleurs.
      Donne-nous aujourd’hui notre pensée de ce jour.
      Pardonne-nous notre bêtise,
      comme nous pardonnons aussi à nos cons.
      Et ne nous soumets pas à la tentation de t’emmerder,
      mais délivre-nous de notre ignorance.

      Henri II est mort après un tournoi….
      Henri III a été assassiné assis sur sa chaise percée…
      Henri dieu ! A un chouïa près, tu pourrais claquer sur ton trône.
      Qui sait ? Parfois le hasard fait bien les choses.
      Je me suis fait bien comprendre cette fois ?
      Ton fils chéri.

      PS : « Trop de buzz tue le paradoxe du buzz !

      Mais le paradoxe, c’est le buzz paradoxal qui en se prenant pour un scoop fait le bug ! »

      sacajawa
      1 décembre 2014 à 20 h 24 min
      De l’aspirine please.

      Julie
      2 décembre 2014 à 9 h 22 min
      J’essaierai de comprendre à tête reposée

      « Mon ego est sûrement en rapport avec ton incapacité à te faire comprendre ! »
      Ben voyons… rires…

  5. Mon bon Riton…
    Tu as a raison je m’en tape de tout, je ne comprends rien, et surtout ne veut pas comprendre…
    Mais si ça te fais plaisir de te croire important tu ne fais de mal à personne, continue, il y en a qui aime…
    Hors sujet, fais toi offrir un destapa banana !

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