Un dîner presque parfait à Tours du mardi 3 décembre 2013 chez Richard.

En principe je suis sur facebook, pour plus de rapidité.

Encore un qui a été inscrit par un copain……allez, un petit tour en salle de sports…c’est vachement utile. Menu guinguette …que du neuf.

Mêmes discussions inutiles des invités qui tentent de décrypter des intitulés non seulement obscurs mais débiles, comme par exemple  ‘le petit de l’abbaye’ pour  de l’agneau, et ‘la valse de copines rondelettes ‘ pour des pommes de terre persillées…..non, ne riez pas !

Chez lui. Une cours déserte, à l’intérieur, de la paille, grande cuisine, avec un bégonia tamaya, c’était juste un bambou, mais sa nouvelle appellation est plus commerciale.

On voit que c’est un glandeur.

Les courses, avec son sac en bandoulière et la question classique au commerçant.

« Bonjour monsieur le commerçant je voudrais faire un dîner et j’ai besoin de pommes.  » putain, c’est tout à fait une question banale, j’aimerais que le préposé aux fruits et légumes lui demande à son tour, à Tours,  s’il a l’intention de manger ses fruits ou s’il veut les peindre.

Ensuite il commence à réciter son menu au cuisiniste qui s’en fout totalement mais reste agréable et courtois puisqu’il a vu les caméras et qu’il se demande si ce n’est pas un truc comme surprise surprise. Alors il commence à lui sortir le grand jeu du mec qui est né au paradis, qui a fourni dieu en piège à cons et que tout ce qui est sur la pomme est son dada. Un professionnel ! Tout ça pour quatre pommes !

En cuisine. Un tiramiTsou ….vi,vi, il me fait Tsourire ! Cinéma pour enlever les pépins, puisqu’il va débiter ses pommes en tranches. Les mêmes explications pour les blancs d’œufs qui faut mélanger doucement…que t’as déjà entendu cent douze mille fois.

Décoration de table. L’éternelle nappe taupe à carreaux. Dressage minimaliste. Du coup encore de la paille par terre. Et pourquoi il ne fait pas couler une rivière au milieu de son salon ? Impardonnable !

Le carnaval est prêt. Déguisé en loufiat il reçoit. Le curé est devenu Maurice avec un cadeau, un panier ‘rupestre’ comme le souligne l’hôte qui ne doit pas avoir passé un bac littéraire…..  Vanessa printanière.  Aurélie décorée et bien dégagée. Béatrice classique, fait une fixation sur la paille.

Ça caille, mais on reste dehors. Animation ludique. Aucun intérêt.

Apéritif.  Putain, Aurélie, fait attention à tes seins…. Et ils s’extasient devant un tonneau. Des verrines et le cocktail dans une tasse, rhum, cidre, cannelle… Aurélie, ils vont s’échapper…

Ils prenaient l’apéritif debout……..bon, on est loin de la guinguette …

A table. En d’autres soirées il aurait été saqué…..mais cette décoration inexistante est bien payée…plus de sept de moyenne.

Allez, Beatrice qui agite ses menottes comme elle l’a vue faire à la télé pour respirer le parfum du plat. C’est osé…grosse prise de risque…..un bateau passe.

Ardoise pour le plat. Quelle imagination.

« Qu’est ce que ça peut bien t’être ?  » C’est vrai, c’est un scientifique.

Aurélie, ne te penche pas !

Une constante…personne ne tient convenablement les couverts.

Dessert. Le pain est toujours là. Les couverts à dessert étaient mieux conseillés. Une crêpe, un chou à la crème pâtissière et le TiramiTsou !

Festival de seins ! Heureusement, car son dîner, bien réalisé, était plat !

Sans plus ! Ce soir, pas d’attente, mais pas mieux qu’Aurélie.